martes, 8 de abril de 2008

WRITING A REPORT: reviewing a course


1

From the 14th to the 23rd of January this year, I attended a course called “Advanced Trauma Life Support”, run by the Emergency Services of Castilla y León. It took place in Valladolid and was part of my annual professional retraining.

In my opinion, it was quite well organised, though rather short, and all the topics in the programme were covered. At the start of the course we were asked to do a test in order to evaluate our previous knowledge and we took another one at the end to monitor our improvement. Similarly, we completed a questionnaire about the development of the course.

There were five tutors, all of them well-known professionals with vast experience in the treatment of trauma injuries, but sometimes, when we were practising a clinical simulation, they made you feel unnecessarily stressed.

All the sessions took place in the evening, from four p.m. until nine. At the beginning of each one, there was a short theoretical section and then different skills and clinical simulations were carried out. Unfortunately, most of the days we ran out of time without achieving all the aims.

To sum up, it was a very useful course that should be offered more often than it is at present, although I know it is expensive. I also think that there is perhaps too much content, with not enough time for so many subjects. It would possibly be more appropriate to divide the whole course into several separate courses, as this would enable a better approach to each topic.


By J. M. D. P.



2


Course description


From the 2nd to the 6th of January 2006, I attended a course called “White Week”, which was run by the Sports Foundation of the town council of Valladolid, as a part of its programme “Sport for everybody”.


Contents


It was a five-day-long course, which included skiing lessons while you were at the winter resort (four or five hours each day) and other après-ski activities.


Price


The price was €350 per participant, and it included accommodation in a hostel, a ski instructor for every ten pupils, two of the Foundation’s sports experts, using the ski lift, skiing lessons, full ski equipment (poles, boots, skis, helmet) in the resort, transport by coach and accident insurance.


Development


The course was very well organised, in spite of the large number of participants: more than forty.

The first day we did a test to check our skiing skills and then we were divided into several groups accordingly. After that we followed our instructor to the ski slopes, where, we spent four or more hours, although we were not skiing all the time.

Later, we went back to the hostel to have lunch and relax.

In addition, we had a wider range of extra-activities to entertain us in the evening.


Conclusion


On the whole, this was a well-run course, with suitable lessons for each level and satisfactory facilities and accommodation.

However, I felt it was rather expensive for what it was, even if they provided you with all the equipment we needed.


By P. H. H.



3

In 1989 I attended a course in order to improve my English grammar, as at the time I was living in London and I needed it to get a certificate in English.

This course was called “English Grammar For Pre-intermediate Students”. It was run by Cambridge University and took place at Kingsway College.

The course was divided into three terms and focussed on the four skills required to acquire a sound knowledge of the English language, which are writing, reading and listening comprehension, and conversation.

We had only one teacher, Kathy Jones, who was extremely professional and was very keen to teach us everything we could possibly learn about English grammar; in addition, as we were all foreigners the need to communicate with each other made it easier for us to learn the language.

There sessions were always held in the morning, so that in the afternoon we were able to take part in some extracurricular activities, most of which were held outdoors. That made everything more interesting as we had the opportunity to know a bit of London.

On the whole, this was a well-run course. It gave me my first opportunity to learn a different language and I would recommend it to anyone who is thinking of learning English.


By L. F. S.


lunes, 7 de abril de 2008

Seen through a window



If you look through my window you can see the old grey walls of the prison.
Every time I look through the iron bars of my window, I think about all the
days and nights I have been locked up here. I look at the prisoners walking
around the courtyard, in total silence, lost in thought. Their eyes are empty,
as if they were in another place, far away from here. Maybe they are
trying to escape from this depressing reality, imagining they are not in this
old dark prison.
Through this window, I usually see the beautiful red dusk, and later the
full moon shining in the sky. The breeze drifting into the room between the
rusty iron bars smells of freedom ... the freedom I will never have any more.

Une idée pour sauver la planète ? Les gestes écolos ?

Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits-enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as 2 tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te défendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi, c'est la faute aux anciens
Mais y aura plus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y avait des animaux partout dans la forêt,
Au début du printemps, les oiseaux revenaient

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin, ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqués, 100 pour cent misérables
Alors voilà petit, l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli, et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire et ça c'est rien de le dire

Il faut que tu respires (x4)


C'est une chanson pour les enfants qui naissent et qui vivent
entre l'acier et le bitume, entre le béton et l'asphalte,
Et qui ne sauront peut-être jamais
Que la terre était un jardin.

Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n'était pas le paradis ou l'enfer
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu.
Lalala, lalala, lalala

Il y avait un jardin, une maison des arbres,
Avec un lit de mousse pour y faire l'amour
Et un petit ruisseau roulant sans une vague
Venait le rafraîchir et poursuivait son cours.
Lalala, lalala, lalala.

Il y avait un jardin grand comme une vallée.
On pouvait s'y nourrir à toutes les saisons,
Sur la terre brûlante ou sur l'herbe gelée
Et découvrir des fleurs qui n'avaient pas nom.
Lalala, lalala, lalala.

Il y avait un jardin qu'on appelait la terre.
Il était assez grand pour des milliers d'enfants.
Il était habité jadis par nos grands-pères
Qui le tenaient eux-mêmes de leurs grands-parents.
Lalala, lalala, lalala.

Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître,
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus?
Où est-il ce jardin toutes portes ouvertes,
Que je cherche encore mais que je ne trouve plus?
Lalala, lalala, lalala.



Chacun d'entre nous peut jouer un rôle dans la protection de notre planète. Vous avez une idée pour protéger l'environnement, un geste simple qui peut changer les choses ?

Geste quotidien, voilà le mot-clef !!!

Voici notre proposition de gestes simples, suivie d’un classement par ordre d’importance décroissant. Quels sont ceux que vous posez quotidiennement pour préserver l’environnement ? Et si vous n’en posez pas, pourquoi ?

Et surtout, n’oubliez pas les trois R :

Les trois R constituent une stratégie de gestion des produits en fin de vie et des déchets qui en découlent, visant à :

Réduire la quantité de produits qui arrivent en fin de vie,

Réutiliser des produits ou certaines de leurs parties qui deviendraient autrement des déchets,

Récycler les matières premières.

Les produits qui arrivent en fin de vie et qui ne peuvent pas rentrer dans ce schéma sont considérés comme des déchets ultimes : ils ne peuvent qu'être stockés, éventuellement en attendant de trouver un moyen de les faire retourner dans le circuit.



Inscrivez vos commentaires sur le blog et établissez aussi votre liste de priorités.

EAU


1. Ne laissez pas le robinet goutter (brossage de dents, lavage de mains…) ; c'est 12 litres d'eau d'économisés à la minute.

2. Installez des économiseurs d’eau ; ces objets limitent le débit des robinets et sont donc idéaux pour réaliser des économies d’eau.

3. Préférez les douches aux bains (ces derniers gaspillent trop d’eau et d’énergie en particulier à cause du chauffage de l’eau chaude). Une douche c'est 80 litres d'eau, un bain 200 litres.

4. Pour tous ceux qui n'ont pas de chasse d'eau avec débit variable (faible ou normal) il est possible de réduire la quantité d'eau déversée dans vos toilettes en mettant une bouteille en plastique dans votre réservoir de chasse d'eau. Sous la pression de l'eau montante lorsque celle-ci atteindra le bouchon et le touchera le système de remplissage automatique s'arrêtera et vous gaspillerez ainsi moins d'eau.

5. L'entretien d'un jardin peut se révéler extrêmement gourmand en consommation d'eau. Disposez une ou deux grandes citernes dans des endroits découverts afin de récupérer l'eau de pluie, vous bénéficierez ainsi d'une eau pure (sans calcaire ni chlore) et gratuite pour l'arrosage de vos plantes.

6. Arrosez le pied des plantes le soir avec l'eau d'une cuve de récupération de pluies ou au goutte-à-goutte. Résultat 70% de consommation d'eau économisée.

ENERGIE


7. Utilisez des « ampoules basse consommation », qui consomment six fois moins d’énergie que les ampoules classiques pour une durée de vie jusqu'à 10 fois plus longue.

8. Ne laissez pas d’appareils électriques en veille (télévision, lecteur de DVD), ils consomment de l’énergie.

Éteignez la télévision, l'ordinateur, la chaîne hi-fi, le magnétoscope, le lecteur DVD enfin tout ce qui a un mode veille. Ils consomment plus d'électricité en veille qu'en fonctionnement, soit 300 à 500 kWh par an.

9. Choisissez bien notre électroménager : choisissez des appareils de classe énergétique A (ceux qui consomment le moins d’énergie).

10. Dans la cuisine aussi ! Privilégiez la cuisson au gaz naturel pour vos aliments, celle-ci est beaucoup plus économique que l'électricité ou la vitrocéramique. Gagnez du temps et économisez de l'énergie en mettant des couvercles sur vos casseroles lorsque vous faites bouillir de l'eau. Enfin un dégivrage régulier de votre réfrigérateur et de votre congélateur est indispensable : 4mm de givre équivalent à un doublement de la consommation d'énergie.

11. Lorsque vous utilisez une casserole, pensez à la couvrir pour que l'eau bout plus vite. C'est 30% d'énergie économisée. Adaptez le diamètre de casserole au foyer pour éviter toute déperdition de chaleur. Avec une plaque électrique, pensez à utiliser la chaleur résiduelle, soit 5 à 10 mn, pour finir la cuisson des plats.

12. Machine à laver : utilisez la touche « éco » ou demi-charge qui permet d’économiser environ 25 % d'énergie.

13. Sèche-linge : très gourmand en énergie, préférez le séchage de nos habits en plein air: les vêtements ou les draps sentent bon et on se sent mieux dedans.

14. Pour conserver la fraîcheur dans la maison l'été, oubliez la clim' trop gourmande en électricité. Pensez plutôt à fermer les volets et aérer la nuit pour évacuer la chaleur emmagasinée dans les murs. Passez une serpillière humide sur le sol, ça rafraîchit l'atmosphère.

CHAUFFAGE


15. Isolez correctement votre logement pour éviter les déperditions de chaleur. Les fenêtres à double vitrage permettent d'obtenir une réduction de 10% sur votre facture de chauffage. Faites la chasse aux courants d'air. Pour cela, pensez à calfeutrer vos bas de portes en achetant ou en confectionnant des boudins qui arrêteront l'arrivée d'air froid.

16. Limitez le temps de chauffage des habitations sur une période (par ex. du 15/Oct. au 15/Mars). Cela se pratiquait dans mon enfance et on est toujours en vie. L'effort de tous contre le gaspillage est primordial.

17. Baissez la température des pièces de 1°. C'est 7% d'économie sur la facture. De plus, on dort mieux dans une chambre à 16° ou 17°, c'est bon pour notre santé et notre porte-monnaie.

18. Eteignez le chauffage en hiver quand vous ouvrez le fenêtre. C’est tellement évident et pourtant les ¾ de la population ne le fait pas.

TRANSPORT



19. Choisissez des véhicules peu consommateurs : Les deux roues comme certains scooters et les petites voitures urbaines affichent les meilleurs résultats en faveur de l'air : leur consommation ainsi que leurs rejets sont faibles.

20. Bannissez les voitures 4x4 : Les véhicules dits "tout-terrain" sont les plus polluants avec un surplus de consommation de 4 litres/100 km par rapport aux autres véhicules. Les 4x4 émettent jusqu'à trois fois plus de CO2 qu'une petite voiture économe. Sans oublier les dégâts que font ces véhicules dans les zones plus "sauvages", en forêt, sur les chemins de campagne sous prétexte de l'amusement que cela procure...

21. Optez pour le co-voiturage : 95% des voitures sont occupées uniquement par leur conducteur. Pensons-y ! Demandez à vos collègues, vos amis, faites circuler des listes pour centraliser les besoins. Plus de passagers, c'est moins de voitures et donc moins de bouchons sur les routes !


22. Pour nettoyer votre voiture, préférez les stations de lavage qui consomment moins d'eau (de 50 à 60 l pour un lavage à haute pression contre 150 l pour un lavage aux rouleaux et près de 200 l par vous même) et sont équipées d'évacuations adaptées pour les eaux usées

23. Préférez les modes de transport alternatifs : bicyclette, rollers, patinette, skateboard peuvent vous faire gagner du temps et de l'argent ! Vous en profiterez ainsi pour faire du sport !

24. Préférez le train à l'avion : l'avion est le mode de transport le plus polluant même en le rapportant au voyageur (vu que les avions peuvent transporter des centaines de voyageurs).

RECYCLAGE ET DÉCHETS


25. Dans votre cuisine, prévoyez trois poubelles ou une poubelle avec trois compartiments :

Utilisez une poubelle pour isoler le verre : bouteilles en verre, bocaux, objets en verre…

Utilisez une poubelle pour isoler les plastiques : bouteilles d’eau vides, boîtes de conserve bien vidées et séchées, les emballages, les cartons de déménagement, de livraison de courses, les barquettes en aluminium propres, les aérosols…

Une poubelle pour tout le reste : restes de nourriture, emballages sales, pots de yaourt vides, barquettes en polystyrène…

26. Les piles usagées doivent être déposées chez les vendeurs de piles ou certains supermarchés qui les récupèrent. Par ailleurs, pour limiter votre consommation de piles, achetez des lampes de poche sans pile (lampes de poche écologique) et des calculatrices sans pile.

27. Les médicaments usagés doivent être déposés dans les pharmacies. Elles ont leur propre filière de récupération.

28. Les produits toxiques sont dangereux pour l’environnement. Ils ne doivent pas être mélangés avec les autres déchets. Il faut les déposer dans des déchetteries spécialisées mais renseignez-vous auprès de votre Mairie, il existe des services de ramassage gratuit de ces produits sur simple appel.

29. Les produits encombrants : le gros électroménager hors d’usage doit être emmené dans une déchetterie. Vous pouvez aussi téléphoner au service des encombrants de votre Mairie qui viendra alors vous retirer gratuitement l’appareil encombrant en question.

30. Les huiles de vidange et les batteries de voiture : elles doivent déposées soit dans des déchetteries, soit dans des garages appartenant aux « relais verts auto ».

31. Le matériel informatique, les cartouches d’encre de votre imprimante : lorsque vous achetez des cartouches d’encre, votre fournisseur est dans l’obligation de vous fournir des enveloppes pré affranchies vous permettant de lui renvoyer à ses frais les cartouches usagées, n’oubliez donc pas de les conserver pour les utiliser au moment de remplacer vos cartouches. Ne jetez pas vos cartouches usagées à la poubelle ! Par ailleurs, le matériel informatique usagé doit être rapporté au magasin vous l’ayant vendu.

32. Ne triez plus seulement vos déchets, faîtes aussi le tri dans vos achats.

D’AUTRES ASTUCES ÉCOLOGIQUES


33. Faites vos courses avec un sac en toile ou un panier en osier, c'est un geste simple et facile.

34. Quand vous faites les courses, achetez localement. Si vous achetez de la nourriture chez des fermiers locaux ou au marché, il y a moins de transports et donc moins de pollution.

35. Quand vous faites les courses, achetez les produits de la saison.

36. Pour le ménage, préférez des produits écologiques, respectueux de l’environnement.

37. Plantez des haies (toujours des espèces locales) dans votre jardin pour favoriser la biodiversité, pour créer un habitat varié pour les oiseaux, insectes et petits mammifères qui y trouveront également une nourriture diversifiée.

38. Au jardin, évitez les engrais et autres pesticides. Faites vous-même votre engrais naturel en fabriquant votre compost à partir des déchets de cuisine dégradables (épluchures de légumes, marc de café), de résidus organiques du jardin (feuilles, herbes..), papier, cendres ou sciure…

39. Choisissez des produits rechargeables avec un emballage allégé, il est possible de réduire ses déchets d'emballage de 50%.

40. Éteignez la lumière dès que l'on sort d'une pièce!!

41. Posez un "Stop Pub" sur votre boite aux lettres !

42. Commencez à privilégier des achats par internet, cela évite de se déplacer en voiture.

43. Préférez les produits "éthiques" : ceux-ci contribuent à des échanges commerciaux équitables entre le Nord et le Sud, ils sont visibles sous les marques.

AU TRAVAIL


44. Modérez la consommation de papier.

45. Utilisez du papier recyclé.

46. Utilisez le verso des feuilles imprimées. Mieux encore : imprimez directement en mode recto-verso si votre imprimante le permet.

47. Evitez les impressions couleurs

48. Pour photocopier un document épais, placez des feuilles blanches autour de la zone à copier.


49. Une fois que vos cartouches d'encre sont épuisées, ne les jetez pas à la poubelle !

50. Si tous les utilisateurs de Google utilisaient Écogle, on pourrait économiser 750 mégawatts-heures par an, soit toute l’énergie produite par 1000 petites éoliennes ou par 26 turbines du barrage des trois gorges en Chine.


À CHACUN DE FAIRE SA PART !!!

Voici nos 10 commandements pour mieux protéger l’environnement :


1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

Geste :

32

8

17

35

25

39

43

31

4

21



Lien utile: Le Grenelle de l'environnement

lunes, 31 de marzo de 2008












boomp3.com

A

Compréhension orale 1

Nuancez le degré de vérité ou de fausseté des propositions suivantes. Donnez-en des explications :

1. Une jeune fille raconte l’histoire de sa vie


2. Quelqu’un raconte la vie d’une jeune fille.


3. On rapporte une chronique.


4. On raconte l’histoire des amours illicites d’une jeune fille avec un brigand.


5. Nos sommes tous invités à écouter une histoire exemplaire.


6. C’est une histoire dédiée surtout aux jeunes qui n’ont pas trop d’expérience de l’amour.


7. Les filles de Séville et de Grenade sont des proies faciles de l’amour.


8. Doña Padilla se distinguait par sa chasteté.


9. Elle rentra dans les ordres malgré elle.


10.Les gens du lieu n’étaient pas contents qu’elle prenne le voile.


11.Une fois dans le couvent elle tomba amoureuse d’un beau brigand.


12.Une fois dans le couvent elle tomba amoureuse d’un fier brigand.


13.Une fois dans le couvent elle tomba amoureuse brigand très austère.


14.La nonne conduisit le brigand à l’enfer.


15.La nonne donna un rendez-vous sacrilège au brigand.


16.Dieu punit les amants d’un coup de foudre.



A


Compréhension orale 2


Venez, vous dont l'œil ________,

Pour entendre une histoire _________,

Approchez : je vous dirai celle

De doña Padilla del Flor.

Elle était d'Alanje, où _________

Les collines et les halliers

Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

Il est des filles a Grenade,

Il en est à Séville aussi,

Qui, pour la moindre ________,

A l'amour demandent _______ ;

Il en est que parfois _____________,

Le soir, de hardis _____________.

Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

Ce n'est pas sur ce ton _________

Qu'il faut parler de Padilla,

Car jamais prunelle _________

D'un feu plus chaste ne _______ ;

Elle fuyait ceux qui __________

Les filles sous les peupliers.

­Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

Elle prit le voile a__________,

Au grand soupir des gens du lieu,

Comme si, quand on n'est pas ______,

On avait droit d'épouser _______

Peu s'en fallut que ne pleurassent

Les soudards et les écoliers

­Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

Or, la belle à peine cloîtrée,

Amour en son cœur _____________

Un fier brigand de la __________

Vint alors et dit : _________ !

Quelquefois les brigands __________

En audace les ___________

Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers.

Il était laid : des traits _________,

La main plus rude que le _________ ;

Mais l'amour a bien des _____________,

Et la nonne aima le ___________.

On voit des biches qui ___________

Leurs beaux cerfs par des ____________

­Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

La nonne osa, dit la ___________,

Au brigand par l'enfer ___________,

Aux pieds de sainte Véronique

Donner un rendez-vous la nuit,

A l'heure où les corbeaux ___________,

Volant dans l'ombre par ____________

­Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

Or quand, dans la nef ______________,

La nonne appela le ______________,

Au lieu de la voix _____________,

C'est la foudre qui _____________.

Dieu voulut que ses coups frappassent

Les amants par Satan _______

Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !

Cette histoire de la ___________,

Saint Ildefonse, abbé, _________

Qu'afin de préserver du __________

Les vierges qui font leur ________,

Les prieurs la ______________

Dans tous les couvents _____________. ­

Enfants, voici des bœufs qui passent,

Cachez vos rouges tabliers !



B

Cherchez dans ce conte les éléments suivants :

Présentation

du vers : ___

au vers : ___

Situation initiale d’ordre


Conflit

du vers : ___

au vers : ___

Un éloignement


Une interdiction


Une transgression


Un méfait


Dénouement

du vers : ___

au vers : ___

Une punition.


Morale de l’histoire



C

Expression orale

LA LÉGENDE DE LA NONNE

Avant d’écrire une nouvelle version de « La légende de la nonne » il faudra que vous fassiez une ébauche orale à l’aide de certains repères.

1. Description des personnages.

2. Explication de leur caractère à partir de leurs histoires.

3. Imaginez leur première rencontre.

4. La transformation psychologique provoquée par la passion amoureuse.

5. Mise au ban par la société

6. Le dénouement.

a). Cherchez dans le texte de la chanson des éléments qui permettent d'imaginer les personnages.

La nonne : parlez de son intelligence, de sa finesse d’esprit, de sa naïveté, de sa morale inébranlable, de sa délicatesse, de sa beauté, de sa jeunesse, de sa curiosité, de son amour envers les pauvres et les déshérités de toutes sortes, de sa jeunesse…

Le brigand : astucieux, rusé, malin, hardi, audacieux, osé, dévergondé, éhonté, vulgaire, rude, dur, grand, fort, laid, les traits austères.

Les gens.(société) Imaginez les mœurs d’une petite ville de province. Société ancrée dans des normes, des lois, des règles étouffantes qui ankylosent toute évolution; société hypocrite, fortement hiérarchisée où la jalousie, l’envie, le paraître, la médisance empoisonnent les rapports entre les gens.

b) Comment expliquez-vous le caractère des deux personnages principaux ? Pour ce faire imaginez leurs histoires.

La nonne : enfance heureuse, famille aristocratique, haute bourgeoisie, éducation religieuse assez sévère…?

Le brigand :

- De famille aristocratique, noble au vrai sens du mot, vertueuse et moralement sans reproches, lui c’est la brebis égarée, ayant été déniaisé lors de différentes guerres auxquelles il a participé.

- C’est un débauché (il mène une vie de débauche) à l’instar de sa famille, aristocratique mais décadente.

- De famille modeste, pauvre voire misérable, il hait (détester, se moquer de, être ressenti contre) les autres classes sociales. Or, grâce à son intelligence il fut choisi, parmi d’autres enfants aussi démunis que lui, pour parfaire son éducation chez les

- Oratoriens ou chez les Jésuites.

c) La rencontre : Oú ? Quand ? Pourquoi ? Comment ?

· À l’église : Il l’a rencontrée quand elle allait à la messe lors de la fête de la patronne de la ville. Il l’a vue, elle l’a vu.

Elle a senti à l’église qu’elle ne pouvait pas prier : l’image de Dieu s’évanouissait laissant place à une autre en quelque sorte diabolique mais agréable…Lui, il a soudoyé la duègne/confidente/chaperon/gouvernante et il est entré, la nuit, dans sa chambre…

· Un enlèvement : elle s’est fait enlever par le bandit lors de sa promenade quotidienne. Le brigand avait parié, avec d’autres pire que lui, qu’il la rendrait amoureuse.

· Autre

d) Conséquences de la rencontre :

· Passion amoureuse débordante,

· Désordre des sentiments….

· Après les hésitations, après le doute, après la lutte intérieure il se produit chez elle une transformation : Elle s'affronte à la société qu’elle met en cause. Elle fait son choix. Elle devient osée. Elle se sent rejetée par son entourage qui, maintenant, en profite pour la traîner dans la boue.

· Lui, de même, sentiment inconnu, il est épris d’elle. Il s’adoucit. Il n’a donc nulle force ni autorité sur les autres membres de la bande de malfaiteurs. Dès lors, c’est à sa société de brigands qu’il s’oppose, c’est elle que lui, il va remettre en cause.

e) La fuite :

- Étant impossible pour tous les deux de rester dans leurs sociétés respectives ils doivent s’enfuir quelque part où personne ne les connaisse.

- Elle, de mèche avec sa gouvernante, quitte sa maison ….

f) La mort des amants et son interprétation par les villageois.

D

Expression écrite

Faites le récit de « la légende de la nonne » en 250 mots maximum


Version 1

LA LÉGENDE DE LUCINDE


La plus jolie et la plus intelligente fille de l’université, Lucinde était un ange. Les hommes rêvaient d’elle à cause de sa joie et sa désinvolture. Fille unique d’une famille aristocratique dont elle reniait, elle s’était engagé dans des organisations dont le but était l’aide des plus défavorisés. Elle détestait la vie de ses copains toute pleine de fêtes, longs voyages et promenades à cheval. Généreuse et avec un sens très profond de la justice et de l’égalité elle avait pour tous un cœur d’or à telle point que son seul rêve c’était de partir au Tiers Monde aider les oubliés.


Il se promenait à l’université toujours en compagnie des plus belles filles, mais personne ne pourrait dire à quelle Faculté René était inscrit. Chassé par son père du foyer familial il était toujours à la recherche d’une nouvelle proie. Cette fois il cherchait le gros lot.


Lucinde attira bientôt l’attention de René. Vu qu’elle n’était accessible que si l’on parlait de justice, de générosité et d’autres bêtises il fit croire à Lucinda en entrant sur son blog, après avoir lu deux livres sur la justice nord-sud, qu’il travaillait depuis quelques années entre les jeunes de banlieue. C’est comme ça qu’ils ont partagé plusieurs heures et l’amitié est née.


Un mois plus tard ils partaient en Afrique engagés volontaires au sein de l’ONG où Lucinde travaillait depuis quatre ans.


À Darfour on a fort travaillé, toujours coude à coude et finalement l’amour est né au cœur de Lucinde et ils ont partagé aussi leurs nuits.

Lorsque René s’était aperçu que Lucinde était follement amoureuse au point de ne pouvoir plus rester même une heure sans lui, il l’avoua être malade d’une maladie que seulement un médecin Suisse pourrait guérir, mais que ce serait très cher. Il devrait partir.


Affolée à l’idée de perdre son amour, Lucinde, décida de partir avec lui en apportant tout l’argent qu’ils avaient reçu pour gérer le centre d’accueil dont ils étaient les responsables.


Une nuit ils sont partis en cachète pour arriver à l’aéroport d’Al Fashir au petit matin mais ils n’avaient parcouru que quelques kilomètres qu’ils ont été attaqués par les milices arabes.


On nous informe de Darfour qu’un véhicule aurait été détruit à quinze kilomètres du camp C. Trois cadavres calcinés dont deux volontaires portées disparus auraient été repérés. La disparition des volontaires serait en rapport avec celle de l’argent dont ils étaient les responsables.

JAPR

Version 2

LA LÉGENDE DE LA NONNE



Fille unique d’une famille de vielle souche, élévée dans les sévères préceptes religieux, la chasteté et la beauté de Doña Padilla étaient renommées dans toute l’Andalousie, tant et si bien que son père, homme prudent, décida qu’elle prenne le voile lorsqu'elle avait seize ans à peine.


Son père eut beau la cacher, elle fut vite trouvée par le plus hardi chevalier espagnol, endurci dans la guerre et l’amour. Il chercha la rencontre lors de la messe. Et c’est comme ça que la pauvre Padilla, qui n’apprit jamais à distinguer les loups des agneaux, trembla sous le regard osé du rude brigand.


Dans ses lettres, il ne lui parla pas d’amour, mais de rédemption, et c’est sous prétexte de chercher son aide pieuse qu’il s’introduisit enfin dans la chambre de la nonne. Il avait parié sa vertu; néanmoins, dès qu’il l’embrassa, ils furent pris, tous les deux, chasseur et proie, au piège.


Il n’y a pas de merci pour les tricheurs qui veulent se jouer des règles de leurs condition, personne ne se plaint de la vertu raté; ça, il le savait bien et elle l’apprit rapidement. Il ne leur restait que s’enfuir, mais au dernier moment, les remords s'emparèrent de la conscience de la nonne, elle se confia à son prêtre et, la nuit, des soldats attendirent le rendez-vous. Le brigand se battit jusqu’à la mort, faisant honneur à son nom. La novice, elle, se condamna en se jetant du balcon afin de rejoindre son aimé, soit dans le ciel, par la grâce de Dieu, soit dans l’enfer, par la faute de son péché.


AD



Version 3


Jeune, naïve, intelligente, courageuse et belle, Dª Padilla était devenue l'une des femmes les plus célèbres et désirées dans cette petite ville de province ancrée dans le passé, où elle habitait. Son appartenance à une haute classe sociale mais, en même temps, hypocrite et fermée, interdisait tout type de relation personnelle en dehors du mariage. En conséquence, elle devait bien cacher son inclination pour le brigand dont elle était amoureuse après l'avoir connu un froid dimanche de janvier à l'église. Elle y était entrée avec la foi qu'elle avait toujours en présence de Dieu, lorsque, tout à coup, en tournant sa tête à gauche, elle l'avait vu: fort, grand, audacieux. Ils n'avaient pas échangé des mots. Cependant, leur regard suffisait.

Dès lors, elle ne cessait pas de penser à lui, et, à cause de cette rencontre, tous les gens autour d'elle s'étaient rendus compte du changement de son charactère, de sorte qu'elle était devenue rude, dure, osée, exactement comme on dépeignait ceux qui lui connaissaient.

D'un autre côté, même s'il appartenait à une famille aristocratique et avait reçu une éducation religieuse, il n'avait rien en commun avec elle, sauf une passion débordante pour commencer cette relation.

Quelques mois se sont passés mais leurs sentiments restaient toujours les mêmes. Un jour, pendant sa promenade quotidienne, Dª Padilla a pris la décision de s'enfuir avec lui et sa bande de malfaiteurs. Son choix était fait mais non pas sans y avoir pensé nuit après nuit, tourmentée par des désirs contradictoires et confus et par l'embarras auquel sa famille devrait face quand la nouvelle serait connue.

À peine étaient-ils sortis du village qu'une embuscade leur était tendue. Tout les deux, Dª Padilla et le brigand sont morts. Personne n'a jamais su qui la commandait. Toutefois, on dit que le père de notre héroïne, en voulant éviter des souffrances et des humiliations à sa fille, avait décidé de mettre fin à sa vie, de crainte qu'un autre homme ne le fasse sans en avoir le droit.

En conclusion, cette légende essaie de faire entendre raison aux filles qui tombent amoureuses des hommes dévergondés qui ne leur amènent que des soucis et des malheurs, pour qu'elles aient le temps de se rendre compte avant de tomber dans leur piège.

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